Si l'on sait aujourd'hui que le stockage des combustibles nucléaires irradiés peut être opéré en profondeur dans des environnements riches en schiste ou autres roches argileuses, permettant d'éviter ainsi une propagation de la contamination pour plusieurs millions d'années, une autre alternative aurait été mise en lumière par des chercheurs de l'université de Manchester au Royaume-Uni. Publiée dans la revue Multidisciplinary ...