Le port d’Anvers va s’équiper de la plus grande station à hydrogène du monde

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La société Cummins a annoncé, ce 9 juin 2021, qu’elle allait installer d’ici la fin de l’année 2021 une vaste ...

port anvers plus grande station hydrogene monde - L'Energeek
Le port d’Anvers va s’équiper de la plus grande station à hydrogène du monde - © L'EnerGeek

La société Cummins a annoncé, ce 9 juin 2021, qu’elle allait installer d’ici la fin de l’année 2021 une vaste station à hydrogène sur le port d’Anvers. Multimodale, elle permettrait de fournir de l’hydrogène produit sur place à des navires, voitures, camions, bus, mais aussi à des clients industriels. L’objectif de Cummins est d’assurer la production à partir d’électricité renouvelable, pour garantir une fourniture d’hydrogène vert.

Cummins va installer une station à hydrogène mulitmodale de 20,4 MW sur le port d’Anvers

Cummins est une entreprise spécialisée dans l’installation de station-service à hydrogène, le plus souvent produit sur place grâce à un électrolyseur. Le groupe a déjà équipé une soixantaine de ces stations-services dans le monde, et travaille à décarboner au maximum l’électricité nécessaire à leur fonctionnement, en s’alimentant avec des énergies renouvelables (éolien, photovoltaïque, hydro-électricité), conformément à l’objectif du groupe d’atteindre la neutralité carbone en 2050.

Ce 9 juin 2021, Cummins a annoncé la construction sur le port d’Anvers, d’ici la fin de 2021, de la future plus grande station-service à hydrogène multimodale du monde. La station sera composée de 17 électrolyseurs PEM Cummins, d’une puissance nominale de 1,2 MW, pour un total de 20,4 MW. La station pourra produire plus de 8 tonnes d’hydrogène par jour. Cela correspond à la consommation de 950 kilomètre de 325 poids-lourds.

La station sera conçue pour permettre un accès rapide et efficace aux véhicules, avec une distribution à 700 bars pour les voitures et 350 bars pour les bus et les camions. Le site disposera par ailleurs de deux quais pour remorques, pour permettre l’accès à des camions-citernes à hydrogène, afin de transporter la production excédentaire vers d’autres lieux, en particuliers des clients industriels.

Le plus lu  Production d'électricité verte : la France progresse en 2022

Le port d’Anvers, locomotive du développement européen des piles à combustible

La station à hydrogène d’Anvers fournira donc aussi bien des transporteurs que des particuliers ou des industriels. Elle s’intègre dans la volonté du port d’Avers d’appuyer sa décarbonation sur l’hydrogène. Le port devrait par exemple mettre en service Hydrotug, le premier bateau remorqueur à pile à combustible du monde dans le courant de l’année 2021. Disposant d’une motorisation mixte, hydrogène-diesel, le bateau devrait utiliser 85% d’hydrogène dans un usage classique.

Le Port d’Anvers souhaite donner aux piles à combustible toutes les chances de réussite et s’engage activement comme locomotive de leur développement au niveau européen. L’écosystème de la plateforme portuaire anversoise constitue un terrain d’essai idéal à grande échelle. Nous donnons l’exemple et espérons ainsi inspirer d’autres ports à prendre la même voie”, avait déclaré la responsable du port, Annick De Ridder, en 2019, à l’annonce du projet.

Cummins veut s’appuyer sur la production d’électricité renouvelable locale, notamment les excédents de production éolienne ou photovoltaïque, pour alimenter cette future station en hydrogène vert.

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9 réponses à “Le port d’Anvers va s’équiper de la plus grande station à hydrogène du monde”

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    Sam Sam

    Hier (Samedi 13/06/2021) en millieu de journée (14h30) forte production simultanée des ENRi solaire et éoliennes.
    Les tarifs de l’énergie ont atteint des prix négatifs (source électricity map) en Allemagne(-26.2 euros) , en Belgique (-13,91 euros) et en France (- 8,61 euros)

    Même en réduisant tous ses moyens pilotables au minimum, (charbon, gaz et même nucléaire) Les ENRi produisaient encore trop et L’Allemagne a du payer jusqu’à 26.2 euros pour se débarrasser de chaque MWh produit dans cette période.

    En France, on a pu limiter la casse en réduisant la production nucléaire pour permettre à l’énergie solaire d’être absorbée et on a même pu aider la Belgique en absorbant une partie de ses surplus tout en nous faisant payer pour cela !!!

    Cela permet au passage de répondre à un mensonge répété en boucle par un certain Rochain qui prétend que le nucléaire est incapable de faire du suivi de charge.
    En regardant, les courbes on observe clairement un creux dans la production nucléaire dans cette période en France, mais aussi en Allemagne.

    Cela montre aussi à quel point, les ENRi sont une plaie, non seulement il faut les subventionner et payer plus cher pour une électricité qu’on est pas sur d’avoir quand on a besoin.

    Mais en plus, quand elles produisent trop, il faut payer une 2ème fois pour s’en débarrasser 🙁 !!!!

  2. Avatar
    Sam Sam

    Tiens en parlant des stations d’hydrogène.
    Il n’y avait pas quelqu’un qui avait écrit qu’elle n’existait pas et qu’elle n’existerai jamais ?

    Produire de quoi faire faire 950 kilomètres à 325 poids lourds, je me demande combien il faut de super chargeur à 250Kw pour pouvoir en faire autant ?

  3. Avatar
    dan

    La nuit dernière, le contenu carbone en France autour de 24 g/KWh. En Allemagne, dans le même temps le contenu carbone était à plus de 330 g. l’avenir est aux renouvelables, comme dirait Rochain et Energie+, et Gibus, les éternels contempteurs du modèle électrique Français. Toujours à parler d’études favorables aux ENR.

  4. Avatar
    Energie+

    1) Lorsque plusieurs centrales nucléaires ne sont plus opérationnelles, le prix de l’électricité peut atteindre des sommets et grimper bien au delà de 500 € le MWh contre un prix spot autour de 50 €.

    A l’inverse, lorsqu’une forte production se combine à une faible demande, celle-ci doit impérativement être consommée pour éviter une congestion du réseau, quitte à vendre l’électricité à prix négatif.

    Pendant ces courtes périodes, les producteurs qui ne peuvent techniquement pas mettre leur centrale à l’arrêt doivent payer pour écouler leur production, tandis que certains gros acheteurs (industries etc) sont rémunérés pour consommer plus.

    Ces prix négatifs traduisent une réalité économique : en période de surproduction, les interconnexions des réseaux européens qui permettent en temps normal d’exporter l’excédent d’énergie sont saturées et les moyens de stockage existants (actuellement surtout pompage-turbinage) sont pleinement utilisés.

    Mais c’est surtout pour des raisons de rentabilité que la production n’est pas jugulée. Il est en effet moins coûteux de continuer à faire tourner une centrale au gaz pendant quelques heures que de l’arrêter.

    Ces mouvements à très court terme ont très peu d’influence sur la facture des ménages puisque la plupart des contrats de fourniture pour les particuliers sont adossés à des achats à terme fixe de deux ou trois ans. Mais la multiplication des épisodes de prix négatifs indique que l’offre en électricité tend à augmenter, sauf si plusieurs centrales nucléaires venaient à fermer définitivement.

    Puisque l’électricité répond à la loi de l’offre et de la demande comme toute autre commodité, à terme le développement de l’énergie éolienne aura tendance à pousser les prix de détail vers le bas et contribuera à réduire le prix du kWh

    Si le marché de l’électricité dans ces courts épisodes ne couvre plus les coûts de production réels, les prix négatifs permettent d’accélérer le développement des capacités de stockage à grande échelle (il existe plus de 300 technologies de stockage dont plus d’une centaine déjà compétitives ou sinon qui le deviendront à court ou moyen terme), beaucoup moins risquées que le nucléaire, sans déchets d’ultra-longue durée et bien plus recyclables.

    La production d’hydrogène qui va être nécessaire à décarboner certains secteurs sans trouve également favorisée.

    2) Pour info et sur l’hydrogène et sur ces seules 3 dernières années il y a une multitudes d’études scientifiques et économiques de la part de différents pays pour valider les meilleurs choix sur tout leur cycle entre par exemple pour le train, caténaires, batteries, hydrogène et hybridations entre ces options selon la géographie des pays (montagnes, tunnels etc), le type de transport, fret etc, la situation des réseaux actuels etc.

    Il est en effet évident qu’il y a des différences entre le fret très lourd longue distance aux Etats-Unis ou des transport en montagne type Autriche et Suisse ou de pays avec beaucoup de tunnels comme l’Italie etc. et ce ne sont pas les seuls paramètres à prendre en compte.

    Il n’y a donc pas de solution « simpliste » comme vous pouvez le vérifier sur ces études mais on sait modéliser les meilleures options en fonction de chaque situation et donc on développe des types de transports adéquats (ce sont souvent des hybridations comme déjà proposées par les constructeurs de trains) et on propose les meilleures options de transport en fonction des lignes et pays.

    3) Comparer un mix électrique d’un pays comme la France – pour laquelle le nucléaire a fait équipe pendant des décennies avec la Ceca du Charbon (1955) de pair avec Euratom (1957) et n’a jamais pensé à décarboner sinon récemment quand il a constaté l’essor plus rapide et à meilleur coût des renouvelables à qui il a toujours cherché à nuire – qui a implanté des centrales nucléaire après la guerre puis au début des années 70 et qui n’avait plus ni charbon ni gaz ni pétrole et qui s’est développée vers les services, et le comparer à celui d’un pays comme l’Allemagne qui était dans une situation inverse (beaucoup d’industries, beaucoup de charbon, la réunification avez des zones charbonnières et mineurs de l’ex-RDA etc) et qui n’a en pratique commencé le déploiement des ses moyens renouvelables qu’autour de 2006 et qui en 2011 décidait en plus de fermer ses centrales nucléaires est évidemment un comparatif non objectif et malhonnête.

    Mais demander à Dan et à Sam Sam d’être honnêtes c’est comme demander à des dealers, des fumeurs ou des alcooliques d’arrêter !

    Dans un rapport récent que j’ai publié ici, confirmé par des consultants comme Roland Berger, il apparaît comme on le constatait depuis plusieurs années déjà que non seulement la transition allemande, malgré son important coût initial de pionnier et à venir (avec la géographie spécifique du pays classé difficile dans les renouvelables comme la Belgique, le Luxembourg et Singapour), lui rapporte beaucoup plus qu’il ne lui en coûte mais qu’en plus au plan mondial l’Allemagne participe bien plus largement que nous à la décarbonisation globale et çà va s’amplifier.

    Donc une fois encore au « Café du Commerce » apprenez au moins à faire un bilan « net » avec 2 colonnes, les avantages et les inconvénients et si vous n’êtes pas totalement attardés, essayez d’anticiper les perspectives. Et déjà, tout comme pour les décennies qui viennent, il apparaît que l’Allemagne est en meilleure position pour capter l’essor des renouvelables dans le monde qui va amplement dominer le nucléaire comme les rapports du Giec, de l’IEA etc le confirment mais en plus elle décarbone plus vite au plan mondial. Vous pouvez constater que nos EPR ne se vendent guère donc vous parlez de décarboner mais regardez les chiffres « globaux » c’est ce qui impacte le climat. Pas de savoir qu’à 14h35 lundi 14 juin on a atteint tel ou tel chiffre, çà n’a aucun intérêt, vous raisonnez niveau match de foot type Guingamp contre Plougastel, essayez d’aborder ces sujets dans leur ensemble, prenez de la hauteur nom d’un pipe.

    Donc la vision biaisée qui consiste à sortir des chiffres qui vous arrangent à un instant t c’est bien pour tenter de convaincre Marcel au Café du Commerce quand il picole et ne fait pas attention à ce que vous dites, mais çà n’est ni complet, ni réaliste, ni objectif.

    De plus la politique du « tout nucléaire » en France a eu – comme bien souvent quand il y a monopole – entre autres pour conséquence que l’on a peu développé les autres moyens de décarboner à meilleur coût et meilleure efficacité énergétique (solaire thermique au Cop très largement supérieur par unité d’énergie consommée, couplé ou pas aux réseaux de chaleur réputés comme on peut le vérifier globalement pour fournir une énergie pas chère, hydro etc qui existaient déjà et que l’on pouvait développer plus largement pour décarboner l’ensemble et sans autant de risques et déchets ni aboutir au fiasco de la filière nucléaire française que l’on constate).

    Le résultat est que sur quelques 12 millions de personnes en précarité énergétique, près de 8 millions sont concernés par des chauffages et chauffes-eau de type grille-pain dans des passoires énergétiques. Donc prétendre que l’électricité ne serait pas chère est encore une ineptie si les factures sont délirantes à l’arrivée. ce sont les factures qui compte, pas le prix de l’électricité seul. Idem quand vous comparez les prix allemands ou danois avec les taxes sans comparer les taxes et leurs impacts Vous pipeautez tout le monde.

    Pensez au pauvre Sam Sam qui n’arrive pas à trouver la solution pour décarboner son immeuble, çà lui coûte cher et il pollue comme un malade et Dan qui n’a fait qu’isoler sa maison alors qu’il aurait pu avoir une maison à énergie positive çà aurait compensé en partie la pollution de Sam Sam ou d’autres voisins moins bien lotis !

    Vous aimez parler du passé et répéter des banalités, en plus avec des chiffres souvent tronquées, incomplets etc et refaire l’histoire à votre façon, positionnez vous dans l’avenir si vous voulez réellement décarboner sans en avoir les risques et inconvénients majeurs que vous seriez incapables d’assumer ni de trouver des solutions, car encore une fois si on a un problème majeur quelconque sur ne serait-ce qu’un réacteur ou un conflit ou autres, vous n’aurez comme d’habitude aucune solution alors qu’incompétents dans les approches renouvelables il y en a plein.

    Et pour mémoire l’approche renouvelable, ce ne sont pas que des éoliennes classiques ou du solaire, çà évolue. Les fiches « cuisines » de Sam Sam sur l’éolien ne tiennent absolument pas compte des évolutions techniques. En maternelle les enfants sont plus avancés !

    Par ailleurs chacune de vos interventions qui ne présentent rien de nouveau ou d’utile dégradent votre empreinte carbone et celles des autres qui doivent perdre du temps à répondre à vos âneries. Donc Messieurs, faîtes nous le plaisir de poster des choses intelligentes si vous le pouvez car encore une fois le nucléaire ne peut pas dépasser les renouvelables dans le mix à venir et personne ne dit le contraire mais apparament vous semblez croire le contraire et faites donc fausse route. Regardez le seul chiffre d’affaires des l’Allemagne dans les renouvelables etc comparé à la France avec entre autre ses EPR.

    L’Allemagne aura terminé sa transition alors que Sam Sam cherchera encore la solution pour décarboner son immeuble ! Allez boulot boulot on attend la solution Messieurs les savants !

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    Energie+

    Quand le nucléaire met les éoliennes à l’arrêt

    Les 58 éoliennes du parc SeaMade en Blegique ont été victimes des centrales nucléaires. La production nettement supérieure aux besoins a généré des prix négatifs. L’électricité s’est effondrée jusqu’à −50 €/MWh sur le marché court terme. Continuer à en produire n’avait donc aucun intérêt. Eneco, l’exploitant du parc éolien, a ainsi mis ses turbines à l’arrêt.

    L’hégémonie du nucléaire agace

    Ce n’est pas la première fois que les centrales nucléaires provoquent de telles situations. Au printemps 2020, plusieurs parcs éoliens avaient dû être ralentis ou arrêtés, les réacteurs belges étant dans l’impossibilité de moduler leur puissance dans un contexte de faible demande. Si ce genre d’évènement n’a quasiment aucune conséquence sur l’intensité carbone du réseau électrique, il limite la performance et la rentabilité des centrales renouvelables

    https://www.revolution-energetique.com/comment-le-nucleaire-a-force-des-eoliennes-a-stopper-leur-production/

    .

  6. Avatar
    dan

    Et encore « mieux » du côté de l’Allemagne avec plus de 400 g la nuit dernière (peu de vent) et un peu plus de 350 g dans la journée. Quel modèle de transition énergétique !

  7. Avatar
    dan

    Et côté « café du commerce », Energie+ n’est pas en reste avec ses fariboles (et son mépris pour ses contradicteurs) à n’en plus finir. Faire du chiffre (en Allemagne) avec du business vert pour un résultat, au niveau émissions nationales et coûts pour les consommateurs, aussi minable discrédite d’emblée tous ces (et ses) « beaux » discours. Et quelques conséquences de cette « transition » qui lui semblent méconnues : https://www.economist.com/leaders/2021/06/12/how-green-bottlenecks-threaten-the-clean-energy-business
    Quant au conseil d’une maison à énergie positive, le bilan carbone sur l’ACV de l’ensemble est moins bon qu’un raccordement au réseau national et ceci n’est possible qu’avec des subventions directes et indirectes (via la CSPE, TURPE et TICPE. Faut-il le rappeler ?

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    Sam Sam

    « Quand le nucléaire met les éoliennes à l’arrêt

    Les 58 éoliennes du parc SeaMade en Blegique ont été victimes des centrales nucléaires. La production nettement supérieure aux besoins a généré des prix négatifs. L’électricité s’est effondrée jusqu’à −50 €/MWh sur le marché court terme. Continuer à en produire n’avait donc aucun intérêt. Eneco, l’exploitant du parc éolien, a ainsi mis ses turbines à l’arrêt. »

    Sublime !!!
    La vrai débilité n’est pas de déconnecter les éoliennes quand il n’y a pas de demande mais d’avoir installer des éoliennes en couplage avec des réacteurs nucléaires.
    Ces 2 sources n’ont aucune complémentarité,

    Mais dans les têtes des écolos-débiles, le problème ne vient pas des éoliennes qui ne savent pas adapter leur demande à l’offre mais de ces maudits réacteurs nucléaires.

    Mais pas de soucis, la Belgique va fermer ses centrales nucléaires pour les remplacer par des centrales à gaz.
    Là, il n’y aura plus de problème de couplage avec les éoliennes.
    La Belgique, ce pays génial qui va faire une transition énergétique en augmentant ses GES.

    Cela montre le problème de dissonance cognitive dans le cerveau des écolos débiles pro ENRi qui sont des cas psychatrique avérés pour la plupart d’entre eux.

    Malheureusement, ils sont très difficiles à soigner car la plupart d’entre eux refuse de prendre leur traitement à base de neuroleptiques (Prozac, Vallium, lexomil….)

  9. Avatar
    Energie+

    @ Dan

    Vous affirmez que « le bilan carbone du cycle de vie d’un bâtiment à énergie positive E+C-serait moins bon qu’un raccordement au réseau national ».

    1) çà prouve une fois de plus que vous n’avez pas étudié les meilleurs bâtiments/quartiers etc à énergie positive E+C- et prenez les scientifiques et ingénieurs du secteur pour des crétins

    2) Décrivez-nous donc ce qu’est pour vous le meilleur bâtiment à énergie positive E+C- ou autre label que l’on puisse faire et on va tout de suite constater comme pour Sam Sam que vous ne connaissez pas du tout le sujet ni les technologies à employer

    Allez au bout de votre réflexion vous allez voir comme vous manquez de connaissances et que vous survolez les sujets comme au « Café du Commerce » et faîtes perdre du temps à tout le monde par votre incompétence et vos interventions stériles.

    Ce n’est pas une critique de ma part ni du mépris mais vous ne voulez absolument pas travailler à fond ces sujets donc vous sortez ce qui vous passe par la tête ou des articles divers et variés en pensant que nous ne connaissons pas ces sujets.

    @ Sam Sam

    1) Regardez le potentiel de baisse des prix du nucléaire et des renouvelables (je pense notamment à l’éolien offshore pour la Belgique) et essayez d’anticiper l’avenir proche en nous déclarant que les belges se trompent alors que nous avons du mal à terminer et à faire baisser les prix du nucléaire ?

    Je vous signale que l’on est à 15 MW de capacité/unité en éolien offshore mais également en flottant, et qu’en flottant – qui est souvent encore plus cher mais n’a pas d’impacts importants puisque comme pour le solaire flottant il n’y a pas d’implantation/démantèlement localement en dur – on vise déjà des prix (couplage inclus) d’environ 35 euros/MWh à horizon 2030

    Aux Etats-Unis plusieurs centres de R&D visent même des prix inférieurs.

    De même pour le stockage vous avez plus de 300 technologies répertoriées dont une centaine exploitables à court terme à prix compétitifs, donc le gaz c’est ce qui est facile et habituel, aussi certains pays s’en servent « en transition » comme l’Allemagne et la Belgique d’autant qu’en plus des emplois de cette filière qu’il faudrait alors bouleverser d’un coup, il y a des aspects géopolitiques : l’Allemagne a besoin pour son industrie des ressources de la Russie et la Russie a besoin de fonds pour son développement :

    – la Russie dépend à 55% de ses énergies fossiles pour son économie donc coupez lui sur « le papier en théorie et au Café du Commerce » le gaz et pétrole rapidement et vous aurez en Russie une crise économique majeure alors que c’est un pays hautement nucléarisé militairement.

    De même vous aurez la réplique et nous manquerions de matières premières pour nos industries et plus.

    Sachez que ni la Russie ni l’Europe ni personne n’a envie que ni l’Europe ni la Russie s’effondrent quels que soient les pouvoirs en place.

    Donc au « Café du commerce », que vous fréquentez trop assidûment avec Dan au lieu de bosser, il est facile d’un trait de crayon de stopper une activité et de dire des âneries en se croyant savant méconnu et prix Nobel multi-technologies reconnus internationalement que par vous-mêmes, mais précisez nous le mix idéal que vous envisageriez pour la Belgique et on verra si vous avez raison ou non face aux évolutions technologiques, aux contraintes et aux prix.

    Si vous citez encore une fois l’exemple de l’Allemagne alors ayez l’objectivité et l’honnêteté de prendre en compte le « bilan économique et climatique complet » de l’Allemagne, pas juste ce qui vous arrange « par un bout de lorgnette » et tenez compte du fait qu’ils étaient pionniers, qu’ils ont des contraintes connues depuis longtemps tout comme le Luxembourg, la Belgique, Singapour etc en terme de renouvelables, ce sont des pays depuis toujours mal classés dans les études sur le sujet, sinon on vous cite des pays déjà aux 100% renouvelables ou proches comme l’Islande etc

    Comme pour Dan et les bâtiments à énergie positive E+C- tels qu’il les entrevoit « dans sa tête » et non dans les meilleurs cas, j’attends donc vos solutions pour votre immeuble au gaz et maintenant pour le mix belge idéal selon vous ?

    Vous êtes des savants comme on n’a encore jamais vu ! donc maintenant démontrez le nous concrètement au lieu de dire des gros mots, d’insulter tout le monde et de vous exciter avec votre prozac et autres qui sont d’ailleurs dépassés au plan scientifique mais çà vous ne le savez pas non plus, c’est un problème pour d’éminents savants comme vous 2 !

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9 réflexions au sujet de “Le port d’Anvers va s’équiper de la plus grande station à hydrogène du monde”

  1. Hier (Samedi 13/06/2021) en millieu de journée (14h30) forte production simultanée des ENRi solaire et éoliennes.
    Les tarifs de l’énergie ont atteint des prix négatifs (source électricity map) en Allemagne(-26.2 euros) , en Belgique (-13,91 euros) et en France (- 8,61 euros)

    Même en réduisant tous ses moyens pilotables au minimum, (charbon, gaz et même nucléaire) Les ENRi produisaient encore trop et L’Allemagne a du payer jusqu’à 26.2 euros pour se débarrasser de chaque MWh produit dans cette période.

    En France, on a pu limiter la casse en réduisant la production nucléaire pour permettre à l’énergie solaire d’être absorbée et on a même pu aider la Belgique en absorbant une partie de ses surplus tout en nous faisant payer pour cela !!!

    Cela permet au passage de répondre à un mensonge répété en boucle par un certain Rochain qui prétend que le nucléaire est incapable de faire du suivi de charge.
    En regardant, les courbes on observe clairement un creux dans la production nucléaire dans cette période en France, mais aussi en Allemagne.

    Cela montre aussi à quel point, les ENRi sont une plaie, non seulement il faut les subventionner et payer plus cher pour une électricité qu’on est pas sur d’avoir quand on a besoin.

    Mais en plus, quand elles produisent trop, il faut payer une 2ème fois pour s’en débarrasser 🙁 !!!!

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  2. Tiens en parlant des stations d’hydrogène.
    Il n’y avait pas quelqu’un qui avait écrit qu’elle n’existait pas et qu’elle n’existerai jamais ?

    Produire de quoi faire faire 950 kilomètres à 325 poids lourds, je me demande combien il faut de super chargeur à 250Kw pour pouvoir en faire autant ?

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  3. La nuit dernière, le contenu carbone en France autour de 24 g/KWh. En Allemagne, dans le même temps le contenu carbone était à plus de 330 g. l’avenir est aux renouvelables, comme dirait Rochain et Energie+, et Gibus, les éternels contempteurs du modèle électrique Français. Toujours à parler d’études favorables aux ENR.

    Répondre
  4. 1) Lorsque plusieurs centrales nucléaires ne sont plus opérationnelles, le prix de l’électricité peut atteindre des sommets et grimper bien au delà de 500 € le MWh contre un prix spot autour de 50 €.

    A l’inverse, lorsqu’une forte production se combine à une faible demande, celle-ci doit impérativement être consommée pour éviter une congestion du réseau, quitte à vendre l’électricité à prix négatif.

    Pendant ces courtes périodes, les producteurs qui ne peuvent techniquement pas mettre leur centrale à l’arrêt doivent payer pour écouler leur production, tandis que certains gros acheteurs (industries etc) sont rémunérés pour consommer plus.

    Ces prix négatifs traduisent une réalité économique : en période de surproduction, les interconnexions des réseaux européens qui permettent en temps normal d’exporter l’excédent d’énergie sont saturées et les moyens de stockage existants (actuellement surtout pompage-turbinage) sont pleinement utilisés.

    Mais c’est surtout pour des raisons de rentabilité que la production n’est pas jugulée. Il est en effet moins coûteux de continuer à faire tourner une centrale au gaz pendant quelques heures que de l’arrêter.

    Ces mouvements à très court terme ont très peu d’influence sur la facture des ménages puisque la plupart des contrats de fourniture pour les particuliers sont adossés à des achats à terme fixe de deux ou trois ans. Mais la multiplication des épisodes de prix négatifs indique que l’offre en électricité tend à augmenter, sauf si plusieurs centrales nucléaires venaient à fermer définitivement.

    Puisque l’électricité répond à la loi de l’offre et de la demande comme toute autre commodité, à terme le développement de l’énergie éolienne aura tendance à pousser les prix de détail vers le bas et contribuera à réduire le prix du kWh

    Si le marché de l’électricité dans ces courts épisodes ne couvre plus les coûts de production réels, les prix négatifs permettent d’accélérer le développement des capacités de stockage à grande échelle (il existe plus de 300 technologies de stockage dont plus d’une centaine déjà compétitives ou sinon qui le deviendront à court ou moyen terme), beaucoup moins risquées que le nucléaire, sans déchets d’ultra-longue durée et bien plus recyclables.

    La production d’hydrogène qui va être nécessaire à décarboner certains secteurs sans trouve également favorisée.

    2) Pour info et sur l’hydrogène et sur ces seules 3 dernières années il y a une multitudes d’études scientifiques et économiques de la part de différents pays pour valider les meilleurs choix sur tout leur cycle entre par exemple pour le train, caténaires, batteries, hydrogène et hybridations entre ces options selon la géographie des pays (montagnes, tunnels etc), le type de transport, fret etc, la situation des réseaux actuels etc.

    Il est en effet évident qu’il y a des différences entre le fret très lourd longue distance aux Etats-Unis ou des transport en montagne type Autriche et Suisse ou de pays avec beaucoup de tunnels comme l’Italie etc. et ce ne sont pas les seuls paramètres à prendre en compte.

    Il n’y a donc pas de solution « simpliste » comme vous pouvez le vérifier sur ces études mais on sait modéliser les meilleures options en fonction de chaque situation et donc on développe des types de transports adéquats (ce sont souvent des hybridations comme déjà proposées par les constructeurs de trains) et on propose les meilleures options de transport en fonction des lignes et pays.

    3) Comparer un mix électrique d’un pays comme la France – pour laquelle le nucléaire a fait équipe pendant des décennies avec la Ceca du Charbon (1955) de pair avec Euratom (1957) et n’a jamais pensé à décarboner sinon récemment quand il a constaté l’essor plus rapide et à meilleur coût des renouvelables à qui il a toujours cherché à nuire – qui a implanté des centrales nucléaire après la guerre puis au début des années 70 et qui n’avait plus ni charbon ni gaz ni pétrole et qui s’est développée vers les services, et le comparer à celui d’un pays comme l’Allemagne qui était dans une situation inverse (beaucoup d’industries, beaucoup de charbon, la réunification avez des zones charbonnières et mineurs de l’ex-RDA etc) et qui n’a en pratique commencé le déploiement des ses moyens renouvelables qu’autour de 2006 et qui en 2011 décidait en plus de fermer ses centrales nucléaires est évidemment un comparatif non objectif et malhonnête.

    Mais demander à Dan et à Sam Sam d’être honnêtes c’est comme demander à des dealers, des fumeurs ou des alcooliques d’arrêter !

    Dans un rapport récent que j’ai publié ici, confirmé par des consultants comme Roland Berger, il apparaît comme on le constatait depuis plusieurs années déjà que non seulement la transition allemande, malgré son important coût initial de pionnier et à venir (avec la géographie spécifique du pays classé difficile dans les renouvelables comme la Belgique, le Luxembourg et Singapour), lui rapporte beaucoup plus qu’il ne lui en coûte mais qu’en plus au plan mondial l’Allemagne participe bien plus largement que nous à la décarbonisation globale et çà va s’amplifier.

    Donc une fois encore au « Café du Commerce » apprenez au moins à faire un bilan « net » avec 2 colonnes, les avantages et les inconvénients et si vous n’êtes pas totalement attardés, essayez d’anticiper les perspectives. Et déjà, tout comme pour les décennies qui viennent, il apparaît que l’Allemagne est en meilleure position pour capter l’essor des renouvelables dans le monde qui va amplement dominer le nucléaire comme les rapports du Giec, de l’IEA etc le confirment mais en plus elle décarbone plus vite au plan mondial. Vous pouvez constater que nos EPR ne se vendent guère donc vous parlez de décarboner mais regardez les chiffres « globaux » c’est ce qui impacte le climat. Pas de savoir qu’à 14h35 lundi 14 juin on a atteint tel ou tel chiffre, çà n’a aucun intérêt, vous raisonnez niveau match de foot type Guingamp contre Plougastel, essayez d’aborder ces sujets dans leur ensemble, prenez de la hauteur nom d’un pipe.

    Donc la vision biaisée qui consiste à sortir des chiffres qui vous arrangent à un instant t c’est bien pour tenter de convaincre Marcel au Café du Commerce quand il picole et ne fait pas attention à ce que vous dites, mais çà n’est ni complet, ni réaliste, ni objectif.

    De plus la politique du « tout nucléaire » en France a eu – comme bien souvent quand il y a monopole – entre autres pour conséquence que l’on a peu développé les autres moyens de décarboner à meilleur coût et meilleure efficacité énergétique (solaire thermique au Cop très largement supérieur par unité d’énergie consommée, couplé ou pas aux réseaux de chaleur réputés comme on peut le vérifier globalement pour fournir une énergie pas chère, hydro etc qui existaient déjà et que l’on pouvait développer plus largement pour décarboner l’ensemble et sans autant de risques et déchets ni aboutir au fiasco de la filière nucléaire française que l’on constate).

    Le résultat est que sur quelques 12 millions de personnes en précarité énergétique, près de 8 millions sont concernés par des chauffages et chauffes-eau de type grille-pain dans des passoires énergétiques. Donc prétendre que l’électricité ne serait pas chère est encore une ineptie si les factures sont délirantes à l’arrivée. ce sont les factures qui compte, pas le prix de l’électricité seul. Idem quand vous comparez les prix allemands ou danois avec les taxes sans comparer les taxes et leurs impacts Vous pipeautez tout le monde.

    Pensez au pauvre Sam Sam qui n’arrive pas à trouver la solution pour décarboner son immeuble, çà lui coûte cher et il pollue comme un malade et Dan qui n’a fait qu’isoler sa maison alors qu’il aurait pu avoir une maison à énergie positive çà aurait compensé en partie la pollution de Sam Sam ou d’autres voisins moins bien lotis !

    Vous aimez parler du passé et répéter des banalités, en plus avec des chiffres souvent tronquées, incomplets etc et refaire l’histoire à votre façon, positionnez vous dans l’avenir si vous voulez réellement décarboner sans en avoir les risques et inconvénients majeurs que vous seriez incapables d’assumer ni de trouver des solutions, car encore une fois si on a un problème majeur quelconque sur ne serait-ce qu’un réacteur ou un conflit ou autres, vous n’aurez comme d’habitude aucune solution alors qu’incompétents dans les approches renouvelables il y en a plein.

    Et pour mémoire l’approche renouvelable, ce ne sont pas que des éoliennes classiques ou du solaire, çà évolue. Les fiches « cuisines » de Sam Sam sur l’éolien ne tiennent absolument pas compte des évolutions techniques. En maternelle les enfants sont plus avancés !

    Par ailleurs chacune de vos interventions qui ne présentent rien de nouveau ou d’utile dégradent votre empreinte carbone et celles des autres qui doivent perdre du temps à répondre à vos âneries. Donc Messieurs, faîtes nous le plaisir de poster des choses intelligentes si vous le pouvez car encore une fois le nucléaire ne peut pas dépasser les renouvelables dans le mix à venir et personne ne dit le contraire mais apparament vous semblez croire le contraire et faites donc fausse route. Regardez le seul chiffre d’affaires des l’Allemagne dans les renouvelables etc comparé à la France avec entre autre ses EPR.

    L’Allemagne aura terminé sa transition alors que Sam Sam cherchera encore la solution pour décarboner son immeuble ! Allez boulot boulot on attend la solution Messieurs les savants !

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  5. Quand le nucléaire met les éoliennes à l’arrêt

    Les 58 éoliennes du parc SeaMade en Blegique ont été victimes des centrales nucléaires. La production nettement supérieure aux besoins a généré des prix négatifs. L’électricité s’est effondrée jusqu’à −50 €/MWh sur le marché court terme. Continuer à en produire n’avait donc aucun intérêt. Eneco, l’exploitant du parc éolien, a ainsi mis ses turbines à l’arrêt.

    L’hégémonie du nucléaire agace

    Ce n’est pas la première fois que les centrales nucléaires provoquent de telles situations. Au printemps 2020, plusieurs parcs éoliens avaient dû être ralentis ou arrêtés, les réacteurs belges étant dans l’impossibilité de moduler leur puissance dans un contexte de faible demande. Si ce genre d’évènement n’a quasiment aucune conséquence sur l’intensité carbone du réseau électrique, il limite la performance et la rentabilité des centrales renouvelables

    https://www.revolution-energetique.com/comment-le-nucleaire-a-force-des-eoliennes-a-stopper-leur-production/

    .

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  6. Et encore « mieux » du côté de l’Allemagne avec plus de 400 g la nuit dernière (peu de vent) et un peu plus de 350 g dans la journée. Quel modèle de transition énergétique !

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  7. Et côté « café du commerce », Energie+ n’est pas en reste avec ses fariboles (et son mépris pour ses contradicteurs) à n’en plus finir. Faire du chiffre (en Allemagne) avec du business vert pour un résultat, au niveau émissions nationales et coûts pour les consommateurs, aussi minable discrédite d’emblée tous ces (et ses) « beaux » discours. Et quelques conséquences de cette « transition » qui lui semblent méconnues : https://www.economist.com/leaders/2021/06/12/how-green-bottlenecks-threaten-the-clean-energy-business
    Quant au conseil d’une maison à énergie positive, le bilan carbone sur l’ACV de l’ensemble est moins bon qu’un raccordement au réseau national et ceci n’est possible qu’avec des subventions directes et indirectes (via la CSPE, TURPE et TICPE. Faut-il le rappeler ?

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  8. « Quand le nucléaire met les éoliennes à l’arrêt

    Les 58 éoliennes du parc SeaMade en Blegique ont été victimes des centrales nucléaires. La production nettement supérieure aux besoins a généré des prix négatifs. L’électricité s’est effondrée jusqu’à −50 €/MWh sur le marché court terme. Continuer à en produire n’avait donc aucun intérêt. Eneco, l’exploitant du parc éolien, a ainsi mis ses turbines à l’arrêt. »

    Sublime !!!
    La vrai débilité n’est pas de déconnecter les éoliennes quand il n’y a pas de demande mais d’avoir installer des éoliennes en couplage avec des réacteurs nucléaires.
    Ces 2 sources n’ont aucune complémentarité,

    Mais dans les têtes des écolos-débiles, le problème ne vient pas des éoliennes qui ne savent pas adapter leur demande à l’offre mais de ces maudits réacteurs nucléaires.

    Mais pas de soucis, la Belgique va fermer ses centrales nucléaires pour les remplacer par des centrales à gaz.
    Là, il n’y aura plus de problème de couplage avec les éoliennes.
    La Belgique, ce pays génial qui va faire une transition énergétique en augmentant ses GES.

    Cela montre le problème de dissonance cognitive dans le cerveau des écolos débiles pro ENRi qui sont des cas psychatrique avérés pour la plupart d’entre eux.

    Malheureusement, ils sont très difficiles à soigner car la plupart d’entre eux refuse de prendre leur traitement à base de neuroleptiques (Prozac, Vallium, lexomil….)

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  9. @ Dan

    Vous affirmez que « le bilan carbone du cycle de vie d’un bâtiment à énergie positive E+C-serait moins bon qu’un raccordement au réseau national ».

    1) çà prouve une fois de plus que vous n’avez pas étudié les meilleurs bâtiments/quartiers etc à énergie positive E+C- et prenez les scientifiques et ingénieurs du secteur pour des crétins

    2) Décrivez-nous donc ce qu’est pour vous le meilleur bâtiment à énergie positive E+C- ou autre label que l’on puisse faire et on va tout de suite constater comme pour Sam Sam que vous ne connaissez pas du tout le sujet ni les technologies à employer

    Allez au bout de votre réflexion vous allez voir comme vous manquez de connaissances et que vous survolez les sujets comme au « Café du Commerce » et faîtes perdre du temps à tout le monde par votre incompétence et vos interventions stériles.

    Ce n’est pas une critique de ma part ni du mépris mais vous ne voulez absolument pas travailler à fond ces sujets donc vous sortez ce qui vous passe par la tête ou des articles divers et variés en pensant que nous ne connaissons pas ces sujets.

    @ Sam Sam

    1) Regardez le potentiel de baisse des prix du nucléaire et des renouvelables (je pense notamment à l’éolien offshore pour la Belgique) et essayez d’anticiper l’avenir proche en nous déclarant que les belges se trompent alors que nous avons du mal à terminer et à faire baisser les prix du nucléaire ?

    Je vous signale que l’on est à 15 MW de capacité/unité en éolien offshore mais également en flottant, et qu’en flottant – qui est souvent encore plus cher mais n’a pas d’impacts importants puisque comme pour le solaire flottant il n’y a pas d’implantation/démantèlement localement en dur – on vise déjà des prix (couplage inclus) d’environ 35 euros/MWh à horizon 2030

    Aux Etats-Unis plusieurs centres de R&D visent même des prix inférieurs.

    De même pour le stockage vous avez plus de 300 technologies répertoriées dont une centaine exploitables à court terme à prix compétitifs, donc le gaz c’est ce qui est facile et habituel, aussi certains pays s’en servent « en transition » comme l’Allemagne et la Belgique d’autant qu’en plus des emplois de cette filière qu’il faudrait alors bouleverser d’un coup, il y a des aspects géopolitiques : l’Allemagne a besoin pour son industrie des ressources de la Russie et la Russie a besoin de fonds pour son développement :

    – la Russie dépend à 55% de ses énergies fossiles pour son économie donc coupez lui sur « le papier en théorie et au Café du Commerce » le gaz et pétrole rapidement et vous aurez en Russie une crise économique majeure alors que c’est un pays hautement nucléarisé militairement.

    De même vous aurez la réplique et nous manquerions de matières premières pour nos industries et plus.

    Sachez que ni la Russie ni l’Europe ni personne n’a envie que ni l’Europe ni la Russie s’effondrent quels que soient les pouvoirs en place.

    Donc au « Café du commerce », que vous fréquentez trop assidûment avec Dan au lieu de bosser, il est facile d’un trait de crayon de stopper une activité et de dire des âneries en se croyant savant méconnu et prix Nobel multi-technologies reconnus internationalement que par vous-mêmes, mais précisez nous le mix idéal que vous envisageriez pour la Belgique et on verra si vous avez raison ou non face aux évolutions technologiques, aux contraintes et aux prix.

    Si vous citez encore une fois l’exemple de l’Allemagne alors ayez l’objectivité et l’honnêteté de prendre en compte le « bilan économique et climatique complet » de l’Allemagne, pas juste ce qui vous arrange « par un bout de lorgnette » et tenez compte du fait qu’ils étaient pionniers, qu’ils ont des contraintes connues depuis longtemps tout comme le Luxembourg, la Belgique, Singapour etc en terme de renouvelables, ce sont des pays depuis toujours mal classés dans les études sur le sujet, sinon on vous cite des pays déjà aux 100% renouvelables ou proches comme l’Islande etc

    Comme pour Dan et les bâtiments à énergie positive E+C- tels qu’il les entrevoit « dans sa tête » et non dans les meilleurs cas, j’attends donc vos solutions pour votre immeuble au gaz et maintenant pour le mix belge idéal selon vous ?

    Vous êtes des savants comme on n’a encore jamais vu ! donc maintenant démontrez le nous concrètement au lieu de dire des gros mots, d’insulter tout le monde et de vous exciter avec votre prozac et autres qui sont d’ailleurs dépassés au plan scientifique mais çà vous ne le savez pas non plus, c’est un problème pour d’éminents savants comme vous 2 !

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