La France doit réduire sa consommation d’énergie de 30% d’ici 2035

La France doit réduire sa consommation d’énergie de 30% d’ici 2035

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Invitée à participer au débat national sur la révision de la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie a publié mardi 22 mai dernier plusieurs propositions. Selon l’Ademe, la France doit réduire avant tout sa consommation d’énergie de 30% d’ici 2035 et accélérer massivement l’essor des renouvelables si elle veut espérer atteindre les objectifs fixés dans la loi de transition énergétique.

Si la PPE actuelle fixe déjà filière par filière (énergie fossiles, nucléaire, éolien, etc.) les grands objectifs de la loi de transition énergétique et donne un aperçu de la composition du bouquet énergétique français à l’horizon 2023, elle était depuis sa publication en 2016, largement critiquée pour son manque de cohérence entre ses différents volets (consommation et production d’énergie notamment). Pour remédier à ce déséquilibre, une nouvelle version doit être arrêtée d’ici fin 2018 et inclure de nouveaux objectifs de développement des énergies renouvelables ou de réduction des gaz à effet de serre, et préciser le nombre de réacteurs nucléaires à fermer et les délais pour y parvenir.

Réduction des consommations et développement des renouvelables

Participant à ce processus de révision, l’Ademe a dévoilé mardi 22 mai, quelques-unes des priorités à respecter dans l’élaboration de la feuille de route énergétique du pays pour les périodes 2019-2023 et 2024-2028. Selon l’établissement public, la PPE doit avant tout centrer son attention sur la réduction d’au moins 30% de la consommation d’énergie d’ici 2035. « La réduction de la demande d’énergie passera par l’amélioration de l’efficacité énergétique, notamment dans l’industrie, la rénovation du parc de bâtiments, et l’évolution des comportements de mobilités des personnes et du transport de marchandises », a estimé l’Ademe.

L’Agence juge aussi « techniquement possible et économiquement souhaitable » d’augmenter la production d’énergie à partir d’énergies vertes (hydroélectricité, solaire, éolien, biogaz, etc.) de 70% d’ici à 2028 à condition d’imposer un prix du carbone aux énergies fossiles. Le développement des pompes à chaleur et de la biomasse, la poursuite de l’essor de l’éolien et du solaire pour l’électricité, et la méthanisation pour produire du biogaz pourraient permettre dans ce cadre de doubler la part des renouvelables dans la consommation d’énergie d’ici 2028 (elle est aujourd’hui de 16%).

Rédigé par : La Rédaction

La Rédaction
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COMMENTAIRES

  • On peut observer, malgré les milliards d’euros d’aides en tous genres, subventions publiques et autres crédits d’impôts, ainsi que le ponctionnement des contribuables par d’innombrables taxes sur l’énergie, l’inefficacité des plans successifs des gouvernements successifs pour réduire drastiquement la consommation énergétique et les émissions de CO2. Bonne étude de Sylvestre Huet : http://huet.blog.lemonde.fr/2018/02/22/politique-climatique-erreur-francaise-fraude-des-mots/ Peu de chance de réduire de 30 % la consommation d’énergie d’ici 2035 alors que celle-ci n’arrête pas de croître.

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  • @ Dan : encore une de vos incohérences à souligner qu’un article est “bon” car il est pro-nucléaire par un pro-nucléaire affiché alors que vous estimez “inefficaces” les subventions que Sylvestre Huet préconise pourtant aux bâtiments, transports et agriculture.

    Pour être exact, depuis 40 ans la consommation finale énergétique a augmenté de plus de 20% en France. Mais cette augmentation est notamment due à un quasi doublement de la consommation énergétique des transports !

    C’est un problème de choix de modes de transports, de technologies et pas seulement de subventions.

    Par contre l’intensité énergétique finale diminue depuis 20 ans. Depuis 2005, la baisse annuelle moyenne s’établit à 1,4 %.

    Après 15 années de hausse quasi-ininterrompue, la consommation finale énergétique a connu un premier palier entre 2003 et 2008 (elle a évidemment nettement baissé en 2009 avec la crise économique). Depuis elle reste à un niveau proche de 150 Mtep, enregistrant une légère baisse depuis 2012, plus forte dans l’industrie avec presque moins 10% depuis 5 ans.

    L’intensité énergétique finale ne cesse de diminuer depuis 20 ans (de moins en moins d’énergie pour produire 1 euro de valeur ajoutée).

    Les raisons :

    – diminution de la part des secteurs fortement consommateurs d’énergie,
    – amélioration des processus de production, principalement dans l’industrie (plus d’1/3 depuis les années 70)

    En graphique :

    http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/indicateurs-indices/f/2487/0/evolution-consommation-finale-denergie-son-intensite.html

    En bref ce n’est donc pas qu’une simple raison de subventions mal adaptées mais de nombreux aspects comme de choix technologiques et dans les transports le modèle va fondamentalement changer.

    Donc il faut arrêter de lire des sites pro-nucléaire et de tout mélanger pour tirer des conclusions hâtives ! Lisez des sources scientifiques objectives, merci !

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  • Evolution et objectifs des émissions de C02 et de l’intensité énergétique dans les transports pour les différentes zones géographiques mondiales

    Pour atteindre les objectifs du SDD (Sustainable Development Scenario), les émissions des transports doivent culminer vers 2020, puis diminuer de 9,1 % d’ici 2030.

    L’intensité du PIB du transport mondial est la consommation finale d’énergie du transport / unité de produit mondial brut.

    L’intensité du PIB du transport national est mesurée de la même manière, mais / unité de produit intérieur brut.

    L’intensité du PIB mondial des transports a diminué de 2,1 % en 2017, après une baisse de 1,5 % par an en moyenne entre 2000 et 2017.

    Pour mettre l’efficacité des transports sur la bonne voie et atteindre les objectifs de la SDD, ce taux doit plus que doubler pour atteindre une moyenne annuelle de 3,4 % d’ici 2030.

    http://www.iea.org/tcep/transport/

    Les données et graphiques concernent par ailleurs tous les secteurs dont l’énergie et toutes les zones géographiques avec le mérite d’être assez clairs même si certains objectifs sont parfois difficiles à anticiper et laissent donc entrevoir des marges.

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  • De toutes façons, vous cataloguez toujours ceux qui vous contrarient de pro-nucléaires, comme si cela était une tare. Mais qu’y-a-t-il de mal à être pro-nucléaire ? Même les Académies des Sciences et de Médecines de la plupart des pays du monde et les différentes Agences de Santé publiques Françaises et Européennes, ainsi que les agences onusiennes et l’I.E.A. sont pro-nucléaires, entre autres options. Et vous prenez plaisir quelquefois à citer J.M. Jancovici qui, lui aussi, est pour l’atome. Il me semble qu’être contre serait faire preuve d’obscurantisme scientifique évident. Et que sont donc des sources scientifiques objectives pour vous ? Mais vous ignorez peut-être le paradoxe de JEVONS qui veut que les économies réalisées dans un domaine soient annulées par le report de consommation dans d’autres. Ce qui conduit la plupart du temps à une augmentation de consommation d’énergie, que l’on constate actuellement au niveau mondial.

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  • @ Dan : Encore une fois je ne suis ni pro ni anti-nucléaire ou autre et personne ne me contrarie.

    Ce que je conteste c’est la démarche non indépendante ni objective (et donc pas scientifique) qui consiste à tordre des raisonnements et des faits (donc à manipuler l’opinion) pour tenter de faire passer une idée ou un choix.

    L’article de S Huet pose apparemment des bonnes questions mais c’est une attaque infondée de plus à l’encontre des renouvelables dont les technologies ne sont pas en cause car comme j’ai tenté de vous le démontrer le sujet est plus complexe et nécessite une approche qui ne soit pas partisane comme celle de S Huet qui si elle était appliquée ne tiendrait pas la route face aux réalités.

    Et en la matière il y a des extrémistes comme M. Gay, des moins extrêmes comme S. Huet ou plus objectifs comme JM Jancovici mais comme je l’ai déjà précisé pour ce dernier, le problème des consultants est souvent par nature d’avoir une vision macro et de ne pas avoir le temps ni la spécialité d’analyser les technologies les plus en pointe et de ne pas remettre en question assez vite les données à partir de cela. Dans ses équipes à Carbone4 par exemple il y a des consultants qui font des constats différents des siens preuves à l’appui.

    Vous avez des équipes scientifiques et économiques dans le monde qui n’ont pas de parti pris particulier mais analysent le maximum de données technologiques et économiques, les mettent régulièrement à jour et vous indiquent de manière détaillée les résultats qu’ils trouvent.

    C’est un peu comme pour le climat, le tabac, l’alcool etc. Dans les premières décennies beaucoup ne vouaient pas admettre le réchauffement climatique anthropique malgré des preuves flagrantes et que le sujet n’avait rien d’un complot puisque déjà évoqué par des scientifiques au 19e siècle. On a perdu un temps considérable à cause des climato-sceptiques et les lobbyistes.

    La même situation se retrouve avec les renouvelables. De plus en plus d’équipes scientifiques et économiques dans le monde vous démontrent leur intérêt et avantages. Les études ne cessent d’arriver toutes preuves à l’appui. Ils font tourner des modèles de plus en plus sophistiqués, répondent systématiquement à toutes les remarques et critiques etc Bref ils poussent le sujet à fond.

    On constate en pratique que leurs prévisions se confirment, vous avez des opérateurs de charbon, de fossile, de nucléaire en situation de plus en plus difficile face à des renouvelables de plus en plus sans subventions et même qui commencent à être taxées.

    Le CEA a des modèles pour analyser si le nucléaire est pertinent ou pas. Ces modèles étaient en faveur du nucléaire il y a encore quelques années et puis ils ont tourné en faveur des renouvelables.

    De plus, au plan technologique vous avez des solutions et modèles bien plus efficients qui se développent qu’un modèle centralisé mono technologie type nucléaire.

    Mais vous avez toujours des intérêts qui voient leur business perdre du terrain mais plutôt que de s’adapter préfèrent manipuler les réalités.

    Je n’ai aucun problème à parler de nucléaire et des dernières avancées dans ce domaine qui m’intéresse tout comme dans celui des renouvelables et de l’énergie ou de l’efficacité énergétique en général.

    Je suis tout autant critique à l’égard de certains aspects du nucléaire comme à celui de certains aspects des renouvelables comme il me semble vous l’avoir déjà aisément prouvé.

    Je constate simplement comme de plus en plus d’équipes scientifiques et économiques dans le monde que le nucléaire s’est fait dépassé (et c’était logique) par des solutions technologiques plus appropriées, plus pertinentes et de plus en plus économiques, même si ma préférence va de loin pour l’efficacité énergétique en priorité évidemment.

    De même à l’intérieur des renouvelables, certaines technologies se font dépasser par d’autres plus appropriées ou moins coûteuses.

    Idem dans les modèles énergétiques qui ont changé dans le passé et qui changent à nouveau.

    On avait bien une majorité de véhicules électriques dans le monde jusqu’en 1924, çà a changé à notre grand désavantage pour la planète et la pollution avec la Ford T thermique, çà change de nouveau avec le solaire et tout proche l’électro-solaire et des modes de mobilité bien différents et plus pertinents. C’est pareil dans le domaine de l’énergie.

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  • Ces énergies qui, de toutes façons, sont dérisoires en pourcentage de production totale d’électricité, et, de toute façon, exportées une bonne partie de l’année à un coût plus faible qu’elles n’auront été rémunérées car le parc existant pilotable est suffisant 10 mois sur 12, et inadaptées à la consommation car non pilotables. Vous allez me dire que le stockage massif résoudra tous ces problèmes, mais on attend toujours, et à un prix raisonnable. https://www.rte-france.com/fr/eco2mix/eco2mix-mix-energetique

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  • De plus, il semble incontestable que les pays ayant fait le choix des E.N.R.I. massives sont, à part le coût financier important pour leurs finances publiques, et pour les consommateurs via leurs factures TTC d’électricité, sont encore,et pour longtemps, de gros consommateurs d’énergies fossiles, dont le charbon et/ou la lignite, ce qui n’est pas sans conséquences sur la santé des populations humaines (et non sans défiguration des paysages) : https://www.huffingtonpost.fr/2013/04/04/nucleaire-empeche-mort-1-84-million-personnes-climatologues_n_3007198.html.

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  • Il est intéressant de voir que M; Energie + devient très péremptoire lorsque les chiffres de la Cour des Comptes lui sont opposés alors qu’il est très disert sur des considérations d’ordre général.
    Comme toute une certaine mouvance écolo bobo (je doute d’ailleurs que M. Energie + ait une formation d’ingénieur solide (j’entends par là Supélec, ou Mines de Paris ou Centrale etc…) dès que l’on “tape dans le dur”, les invectives remplacent la loggorhée “bien-pensante”.
    Au demeurant un petit calcul de coin de table : Consommation d’électricité en France : environ 500 TWh/ diminution de 30 % = 150 TWh. Sauf diminution drastique du PIB, sachant qu’une consommation par logement est d’environ 5 000 kWh/an et que la rénovation peut faire économiser 30 % soit 1 500 kWh, même en rénovant 10 Millions de logements, on économiserait environ 15 TWh. Où trouver les 135 TWh restant ? Reste des pistes intéressantes comme les chauffe-eau solaires (que l’ADEME ne promeut pratiquement pas car non porteurs de subventions durables) et les STEP permettant de stocker écologiquement les excédents de production des énergies aléatoires (photovoltaïque et éolien). Ecologiquement c’est à dire sans batteries chimiques mais là encore non mises en avant car ne générant pas de rente de situation

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  • C’est même encore plus invraisemblable si l’on songe à réduire de 30 % la consommation totale d’énergies de toutes sortes. Il faudrait alors prendre en compte une consommation totale de l’ordre de 1500 TWh et les réduire de 30 % ! Comment Energy+ compte-t-il s’y prendre (ainsi que l’ADEME) dans une situation économique contrainte ? Et au détriment de quels secteurs ?

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  • Pour appuyer ce que vient d’écrire Dan, on ne voit pas, au delà de certaines pistes déjà connues et qui ont une efficacité toute relative, de remède miracle pour diminuer drastiquement la consommation d’énergie.
    Industriels ? N’en déplaise à M.Energie +, la plupart d’entre eux savent ce que sont des prix de revient et ont fait beaucoup d’efforts pour minimiser leurs consommation aussi bien au niveau des process que des bâtiments.
    Le logement ? L’objectif de M. Hulot (et qui est loin d’être atteint) est de rénover thermiquement 500 000 logements / an. On estime actuellement être à 300/ 350 000.
    Les collectivités publiques ? C’est sans doute là où il y aurait des efforts notables à accomplir. Le problème c’est que pour économiser sur les dépenses de fonctionnement futures, il faut investir tout de suite. Or avec le principe de l’annualité des budgets, il est très difficile de faire apparaître positivement une opération d’investissement en N rentable à partir de N+3 ou N+4 (Pompes à chaleur, remplacement des chaudières, meilleure gestion de l’éclairage public, climatisation des hôpitaux et EHPAD, etc;)
    Et puis les propos de l’ADEME laissent complètement de côté 2 paramètres qui contribuent à définir ce qu’est une société démocratique:
    1) Quel modèle de développement les citoyens désirent ? Veulent-ils vraiment n’utiliser que les transports en commun et accélérer le dépeuplement des zones rurales ? Veulent-ils la disparition de l’industrie, y compris l’industrie moyenne et lourde au nom d’un hameau rural à la Marie-Antoinette ?
    2) Les technologies qui apportent un minimum d’espérance de vie (ou de confort) aux habitants d’un pays nécessitent des consommations d’énergie importante (data centers pour l’économie numérique, hôpitaux, stations d’épuration, sites de vacances, trajets en avion etc..;). Les citoyens sont-ils prêts à se passer de ces technologies au nom de la réduction des consommations d’énergie ?

    Il est vrai que la WWF a accusé la France d’être en déficit écologique depuis le 15 avril 2018 et a cité comme pays vertueux le Niger. Je ne suis pas sûr que les Français soient tous désireux d’avoir le niveau et la qualité de vie des Nigériens.

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  • Entre Dan qui depuis 2 ans republie sans arrêt les mêmes liens pourtant sommaires qu’il n’analyse jamais entièrement et auxquels j’ai maintes fois répondu, graphiques, documents scientifiques et économiques à l’appui etc et Malpensant73 qui avec la même approche superficielle et paresseuse critique à chacune de ses intervention au lieu de lire attentivement et de raisonner, nous sommes vraiment avec les 2 champions de l’incohérence de ce site !

    Pour tenter de vous expliquer puisque vous ne comprenez rien et/ou ne faîtes aucun effort je répondais au lien de Sylvestre Huet publié par Dan :

    Comme vous pouvez le vérifier S. Huet écrit concernant la baisse des émissions : “Au regard des chiffres, on s’attendrait à un effort maximal sur les transports, le bâtiment, l’agriculture.”

    J’ai donc donné sur ce sujet et liens à l’appui la situation officielle de la France, puis internationale et les tendances depuis plusieurs années pour répondre à certains des arguments soulevés par S. Huet et les ramener aux réalités passées, en cours et aux perspectives envisagées. Le lien IEA sur les transports vous donnait accès à tous les autres secteurs avec les tendances etc. et ces 2 liens sont plutôt bien documentés et clairs si vous daignez faire un minimum d’effort d’analyse et avec en plus pas mal de graphiques.

    Et que faîtes vous ? Malpensant donne raison à Dan qui critique les conclusions et secteurs préconisés par l’auteur du lien qu’il a lui-même posté à savoir S. Huet et en rajoute en plus une couche !

    En d’autres termes si vous étiez par exemple chasseurs, c’est comme si Dan qui mélange souvent tout pour faire croire qu’il maîtrise un sujet s’était tiré une balle dans le pied et que Malpensant effectuait un second tir pour confirmer l’erreur !

    Champions les gars !

    Concernant le rapport de la cour des comptes j’ai répondu plusieurs fois pour souligner que Dan ne l’avait visiblement pas lu complètement puisque l’essentiel des dépenses est antérieur à 2011 et que la cour précises les retombées positives en dizaines de milliards d’euros que Dan n’intègre évidemment pas pour faire un bilan “net” et objectif, mais c’est une habitude chez lui de tronquer les documents.

    Et quant au rapport de l’Ademe je ne me suis pas prononcé dessus puisque je répondais au lien de Dan de S. Huet.

    Donc merci d’être un peu plus sérieux si vous le pouvez car si vous voulez que je publie comme Dan à répétition des mêmes liens usagés et me place dans l’approche systématiquement binaire que vous adoptez faute de vous ouvrir à tous les aspects et évolutions de l’énergie, vous allez vite voir que cela devient très désagréable et n’aboutit à rien.

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