La production d’électricité est excédentaire en ce moment en France. Conséquence : les producteurs sont obligés de payer pour vendre leur surplus. Un manque à gagner important, surtout actuellement.
La production d’électricité bat des records
La France se retrouve dans une situation énergétique paradoxale. Alors que les années précédentes ont été marquées par des appels à la sobriété et aux restrictions, le pays est aujourd’hui confronté à une surproduction électrique inédite. Une électricité qui ne trouve plus preneur, ou du moins, plus à un prix acceptable pour ceux qui la produisent.
Alors que l’hiver s’éloigne, les centrales françaises tournent à plein régime. Entre le nucléaire revenu à son niveau de croisière, les énergies renouvelables boostées par l’ensoleillement printanier et une consommation nationale stabilisée, voire réduite, la balance penche largement du côté de l’offre. Résultat : la France produit actuellement plus d’électricité qu’elle n’en consomme.
Le problème ? L’électricité ne se stocke pas à l’échelle nationale. Et lorsque l’offre dépasse la demande sur les marchés européens, les prix deviennent négatifs. En clair, les producteurs doivent littéralement payer pour vendre leur électricité.
Quand le kWh devient un fardeau : les conséquences économiques d’un surplus
En 2024 déjà, la France avait dû exporter 88,3 térawattheures d’électricité, faute d’une consommation domestique suffisante. Le phénomène s’est accentué en 2025. La Commission de régulation de l’énergie (CRE) a évalué les pertes pour les producteurs à près de 80 millions d’euros l’an dernier.
Faute de solutions immédiates pour stocker ce surplus, des mesures d’urgence ont été activées. Depuis le début du mois de mars, treize arrêts forcés d’éoliennes ont été décidés pour éviter l’engorgement du réseau. Le programme d’investissements 2025 de RTE, approuvé par la CRE à hauteur de 3,47 milliards d’euros, vise notamment à moderniser les infrastructures de transport, développer de nouvelles interconnexions et mieux absorber les pics de production.
Face à l’urgence, la CRE envisage une réforme des horaires tarifaires : faire des heures creuses l’après-midi plutôt que la nuit, afin d’encourager une consommation ciblée sur les pics de production solaire.
L’électricité peut se stocker en continu avec des tubes a vide, et générer de la captation atmosphérique par magnétisme (aimantation permanent) des éléments de captations du système, permettant de maintenir un charge fréquentiels qui a une certaine fréquence c’est la neugentropie, c’est une charge exponentiel,
C’est un modèle géométrie bi-symetrique, c’est cela le secret défense sur le nucléaire, c’est le même secret des fm, ce sont ce types de groupe qui chapote l’armée, et de maintenir des inventions sous secret, comme celle de soigner la maladie et de bien vous renseigner que la vieillesse est une maladie dégénérative,
Les collaborateurs du système administratif actuel, pourront pas continuellement cacher le fonctionnement du système bi-symetrique
Dans ce cas pourquoi ne pas baisser le tarif aux consommateurs?! Là c’est sûr que l’électricité serait utilisée plutôt que de payer pour l’exporter. C’est quand même dingue ça! On se moque de nous ou quoi?! Y’a des gestionnaires à foutre a la porte! Marre des comptes d’apothicaire qui n’ont aucun sens pratique concret. Toujours demander aux gens de se serrer la ceinture alors qu’en fait il faut consommer pour faire vivre un pays. C’est que des jeux d’écriture comptables absurdes de croquemorts radins sans aucune connaissance technique ou scientifique. Ils ne savent pas faire vivre une économie. Ils ne font que la tuer. Marre de la dictature de la gestion absurde.