Électricité : le record des éoliennes pour la transition énergétique

Électricité : le record des éoliennes pour la transition énergétique

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Le 14 mars 2019, l’électricité éolienne a été la deuxième source d’électricité produite en France. Un record historique qui prouve la progression des ENR dans l’Hexagone. Le Réseau de transport d’électricité (RTE) souligne ainsi l’essor du parc éolien, en cohérence avec les objectifs de la transition énergétique. Pour les tenants de l’énergie éolienne, c’est aussi l’occasion de démontrer la pertinence des investissements dans cette énergie verte. 

L’année 2019 commence fort pour l’électricité éolienne en France. Le jeudi 14 mars 2019, elle a enregistré un record de production. RTE, en charge du transport d’électricité, a précisé que l’électricité produite par les éoliennes avait atteint 12 323 MW. Le pic a eu lieu en milieu de journée, à 14h30. De quoi couvrir 18% de la consommation électrique de la France qui s’élevait alors à 67 620 MW.

La journée du 14 mars a été particulièrement favorable au parc éolien français en raison des vents très forts qui ont traversé le pays. Les éoliennes ont atteint un facteur de charge (qui mesure l’électricité produite par rapport à la puissance installée) de 81%. Ce chiffre est d’autant plus impressionnant que RTE avait publié, dans son bilan de 2018, la moyenne annuelle : en 2018, le facteur de charge des éoliennes françaises était de 21,1%.

Et si les éoliennes ont pu produire autant d’électricité, c’est aussi parce que le parc éolien français a augmenté ces dernières années. L’Etat et les collectivités locales ont investi dans l’énergie éolienne. En 2018, la puissance éolienne installée dans l’Hexagone se monte à 15 108 MW avec environ 8 000 éoliennes en service, soit 11,2% de plus par rapport à 2017. C’est aussi trois fois plus qu’en 2010, preuve de la montée en puissance de l’énergie éolienne.

L’électricité éolienne, 2e derrière le nucléaire

En se hissant à ce niveau de production, l’électricité éolienne s’est attribuée la seconde place dans le classement des sources de production. Elle a donc dépassé l’hydroélectricité pour arriver juste derrière l’énergie nucléaire. En janvier 2019, RTE soulignait dans son aperçu mensuel de l’énergie électrique : “Le déficit de pluviométrie d’environ 20% sur toute la France en moyenne a notamment provoqué un recul de la production hydraulique, en baisse par rapport à 2018 (-2,29 TWh, -31,2%)“.

Avec l’augmentation de la production d’électricité éolienne, le parc énergétique français fait la démonstration de son agilité. Cela confirme la montée en puissance de l’éolien, même si on note une forte concentration dans le Grand Est et les Hauts- de-France. D’après les prévisions pour le secteur évoquées par Le Figaro, on pourrait même à un doublement du nombre des machines installées d’ici à 2030. L’objectif le plus ambitieux de la Programmation pluriannuelle de l’énergie prévoit lui d’atteindre 35,6 gigawatts de puissance installée en 2028.

Electricité éolienne : une variabilité mieux maîtrisée

Ce record dans la production d’électricité éolienne en appelle d’autres. L’essor constant du parc éolien français devrait assurer une augmentation mécanique de cette électricité verte. Certes, il y a encore des opposants aux éoliennes terrestres. Pourtant, leurs arguments à l’encontre du rendement intermittent des éoliennes s’essoufflent sous l’effet du foisonnement. Les éoliennes sont effectivement tributaires du vent, ce qui empêche une production lissée. Toutefois, les turbines ont connu plusieurs avancées majeures ces dernières années. Les nouveaux modèles d’éoliennes sont ainsi capables d’être réorientées pour suivre le sens du vent, ce qui optimise leur production. Le pilotage des parcs éoliens peut désormais se faire machine par machine.

Pour rappel, le projet de décret de la PPE, présenté début mars, prévoit une augmentation massive des capacités de production des éoliennes. L’énergie éolienne sera la seconde filière d’ENR dans laquelle l’Etat investira le plus, après l’énergie solaire. Néanmoins, à en croire les résultats financiers présentés par RTE le 20 mars 2019, la décentralisation du réseau énergétique n’affecte pas ses performances, notamment grâce à “l’application du nouveau Tarif d’Utilisation des Réseaux Publics d’Electricité (TURPE 5) fixé par la Commission de Régulation de l’Energie (CRE)“.

Rédigé par : La Rédaction

La Rédaction
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COMMENTAIRES

  • Un vent d’espoir pour les acteur de l’ER. Il faut poursuivre sur cette lancée en facilitant, maintenant, la faisabilité des projet éolien offshore. Step by Step

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  • On croit rêver, cela ne vous a pas échappé que le temps est clément , que nous avons 19Gw installés en éolien, que le soleil forcément n’est pas bien là et que malgré tout 3000mw de gaz, sont nécessaires, car il se peut très bien que ces 12000Mw disparaissent en quelques heures, c’est arrivé deux jours auparavant. Il est faux d’affirmer que le foisonnement Nord Sud de l’Europe et vent soleil est efficace, comme vous l’avez souligné les ENRi intermittentes non seulement ont l’obligation d’achat , bénéficient de subventions exhorbitantes et ne participent en rien en temps réel au nécessaire réglage(+ou-) de la puissance pour garantir la sécurité.. ce sont des sa profites que l’ont compense par le gaz ou le charbon en Allemagne notamment. Mais le secret de la stabilité est àlors l’effacement, les fournisseurs éoliens Allemands touchent 1.5Md€ par an pour non production cause nous ne pouvons pas stocker ce que l’on a pas besoin. Mais le dernier “paquet énergie voté par l’Europe” refile la patate chaude à ses voisins dont la France. Le foisonnement fait défaut a tel point que le mythe que vous défendez met sous tensions permamente les dispatchings régionaux Français, et quand le niveau de puissance est élevé au niveau national on frise la cat: l’incident du 10Janvier à 21h est éloquent, les 4000Mw d’e variation due à l’Espagne ont été compensés en catastrophe par l’effacement des industriels Français ( pour 100M€ et ils sont passés au fossile) et le charbon Allemand puisque malgré les 100 centrales nucléaires en vent, eole faisait défaut l’anticyclone était partout présent.
    En conclusion arrétez de nous mener à la ruine financière, à l”augmentation des GES (des que le nucléaire tousse c’est l’enfumage en 2017) le GIEC, AIE,OMS recommandent de sortir urgemment du fossile, pas du nucléaire qu’ils considèrent comme 700 fois moins dangereux que la combustion et de plus le plus efficace pour atteindre dans les temps l’objectif climat.
    Rien n’empêche de se doter en recherche et en équipements démonstratifs des savoirs faire des que le stockage énergétique sera mature à échelle nationale. Pour l’instant c’est l’impasse, le nucléaire en se dotant d’ASTRID nous donne plus d’un siècle d’autonomie le temps de progresser par ailleurs, mais la prégnance fossile est certaine, et cachée dans les ENR i électriques pour mieux nous spolier……175Md€ engagés dont 140 encore à payer pour zéro sur les GES bravo! un marché de l’électricité laissé aux boursicoteurs privant de tous moyens d’investissement sur le pilotable, la stabilité du réseau menacée et réglée par les effacements malsains et des échanges frauduleux des quotas carbones… l’avenir d’EDF remis en cause soue la prégnance des endettements nationaux et ceux des enr (5Md€ sont dus à EDF par l’état.) Franchement arrêtons de spolier les Français pour rien, l’urgence ce n’est pas l’électricité c’est le transport , le chauffage….le fioul voir le gaz, (par degré de froid 2500 Mw de variation pour l’électricité l’hiver et 5500 pour le gaz!)

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  • Le comble, c’est que, faute de stockage massif, la France exportait à ça moment plus de 13 000 MW (à 29 €/MWh) alors que la filière éolienne produisait 12323 MW (rachetés à environ 80€/MWh). Calculez la perte pour les abonnés à l’électricité ! A quoi nous a servi cette production record ? Quelques jours plus tard, la production éolienne tombait à 562 MW. Voir données RTE pour les dates en question : https://www.rte-france.com/fr/eco2mix/eco2mix-mix-energetique

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  • La validité des renouvelables est démontrée d’année en année, confirmée par les scientifiques, les modélisations, de multiples études, les faits etc et çà affole les rentiers du nucléaire qui répètent les mêmes inepties !

    “De nouvelles recherches de l’Université technologique de Lappeenranta (LUT), en Finlande, ont démontré qu’un super-réseau européen transfrontalier basé sur un approvisionnement décentralisé en énergies renouvelables est l’option la moins coûteuse pour atteindre les objectifs de l’Accord de Paris tout en éliminant les obstacles importants au fonctionnement d’une Union européenne de l’énergie.”

    “LUT étudie depuis longtemps l’idée de super-réseaux alimentés à 100 % par des énergies renouvelables et couvrant une grande partie de la planète.”

    “L’étude a comparé 2 scénarios – l’un simulant 20 régions d’Europe agissant comme des “îles” énergétiques indépendantes et l’autre simulant des interconnexions électriques entre les régions. Les scénarios ont été modélisés jusqu’en 2050 et tenaient compte de la capacité et de l’âge actuels des centrales électriques, ainsi que de l’augmentation prévue de la demande future.”

    “Les résultats montrent clairement que la solution la moins coûteuse est basée sur l’approvisionnement domestique et décentralisé avec le commerce transfrontalier, car cela réduit le coût total du système électrique de 69 €/MWh en 2015 à 51 €/MWh en 2050. Un avantage économique substantiel grâce au commerce transfrontalier s’élève à 26 milliards d’euros par an, en ne négociant que 12% de la demande totale d’électricité des utilisateurs finaux en Europe.”

    “Une approche SuperSmart respecte les contributions uniques que différentes régions d’Europe peuvent apporter tout en adhérant à un objectif clairement défini d’émissions de gaz à effet de serre nettes nulles d’ici 2050″ précise Michael Child, chercheur à l’Université LUT et auteur principal de Flexible electricity generation, grid exchange and storage for the transition to a 100% renewable energy system in Europe.”

    Le scénario SuperSmart présenté par LUT constitue un compromis entre deux approches de l’Union européenne de l’énergie qui ont été adoptées récemment – une approche de réseau intelligent décentralisé et une approche de super-réseau centralisé et réglementé.

    “Les résultats de notre modélisation et de notre analyse des instruments de politique suggèrent qu’un compromis entre les deux extrêmes, ou une approche SuperSmart, peut être une solution optimale aux deux problèmes. Tant sur le plan technologique qu’en termes de politique énergétique et climatique, l’Europe doit être considérée non seulement d’en haut, mais aussi dans le contexte national et régional.”

    “Les conditions-cadres que l’Europe doit mettre en place pour que la part des énergies renouvelables puisse augmenter rapidement sont importantes. Chaque pays devrait s’orienter le plus rapidement possible vers un approvisionnement complet en énergies renouvelables”, déclare Claudia Kemfert, co-auteure du rapport. “L’étude montre que le passage à un approvisionnement complet par les énergies renouvelables est non seulement possible, mais qu’il renforce également l’économie et génère des innovations et des avantages technologiques.

    L’étude tient également compte d’éléments qui ne sont pas toujours abordés dans d’autres études de modélisation, comme le rôle des prosommateurs qui, selon l’étude, s’ils étaient pris en compte en termes d’impact sur la quantité d’énergie qui circule dans le réseau centralisé, réduiraient de 6 % la capacité nécessaire à l’interconnexion de pointe, réduisant ainsi les coûts. Le stockage de l’énergie peut également être considérablement développé, les batteries fournissant un stockage à court terme et d’autres technologies assurant l’équilibre saisonnier nécessaire.

    La production flexible peut également être soutenue par l’utilisation de la production complémentaire géographique, par exemple en connectant les niveaux élevés de production photovoltaïque solaire dans le sud de l’Europe et de production éolienne dans le nord-ouest de l’Europe au réseau paneuropéen plus vaste, réduisant ainsi la variabilité globale.

    L’Université a déjà publié des résultats qui mettent en évidence le potentiel d’une Russie et d’une Asie centrale à 100 % d’ici 2030 ; d’une Amérique du Sud à 100 % d’ici 2030 ; d’un Iran et d’un Moyen-Orient à 100 % d’ici 2030 ; d’une Inde d’ici 2050 et sa réalisation majeure, un système planétaire à énergie 100% renouvelable. Et en novembre 2017, en marge de la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques COP23 à Bonn, en Allemagne, les chercheurs de l’équipe LUT ont montré comment un réseau électrique 100 % renouvelable est plus rentable que le système actuel qui dépend des combustibles fossiles.

    “En tant que scientifiques, nous proposons nos résultats à tous les niveaux, par le biais des médias, des contacts directs, des manifestations à Bruxelles ou dans les capitales européennes et des publications scientifiques, qui seront plus tard à nouveau examinées par des rapports importants tels que celui du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat. Plus tard, nous pourrions même avoir un impact sur les rapports de l’Agence internationale de l’énergie, qui suit parfois les découvertes scientifiques plusieurs années plus tard.”

    “Il reste cependant beaucoup à faire pour mieux amplifier le travail des scientifiques et des chercheurs afin de noyer l’argent versé dans les campagnes de lobbying contre le changement climatique”.

    https://cleantechnica.com/2019/02/26/decentralized-renewable-energy-focused-european-super-grid-is-least-cost-option/

    .

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  • Deux voies de transition vers un secteur 100% énergie renouvelable d’ici 2050 sont simulées pour l’Europe à l’aide du modèle de transition du système énergétique LUT.

    Le premier est un scénario “Régions”, dans lequel les régions sont modélisées de manière indépendante, et le second est un scénario “Zone”, qui comporte des interconnexions de transmission entre régions.

    La modélisation est effectuée en résolution horaire sur des intervalles de 5 ans, de 2015 à 2050, et prend en compte les capacités et les âges actuels des centrales, ainsi que les augmentations prévues de la demande future en électricité.

    Les résultats de l’optimisation suggèrent que le coût moyen actualisé de l’électricité pourrait passer de 69 € / MWh à 56 € / MWh dans le scénario Régions et à 51 € / MWh dans la Zone grâce à l’adoption d’une production et d’une énergie renouvelable comme on le constate à faible coût et du stockage flexible. L’augmentation des interconnexions de transport par un facteur d’environ 4 peut permettre de réaliser d’autres économies.

    Cela suggère qu’il serait utile de poursuivre le développement d’une Union européenne de l’énergie, qui fournisse une gouvernance claire au niveau européen, mais permette un développement adapté aux contextes régionaux. C’est l’essence d’une approche SuperSmart.

    “Un système énergétique européen à 100% d’énergies renouvelables est économiquement compétitif, technologiquement réalisable et conforme aux objectifs de l’accord de Paris.”

    https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0960148119302319

    .

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  • L’ineptie complète d’installer du PV et de l’éolien dans notre pays est une fois de plus démontrée :
    – Cette électricité ENR ne nous sert à rien, on aurait produit avec nos autres moyens de production, déjà existant, sans elle.
    – Cette électricité renchérit notre électricité. Forcément, quand on construit un parc ENR en plus du parc pilotable et non en remplacement, ça fait plus d’infrastructures et de personnel à entretenir, pour exactement le même service qu’avant.
    – Cette électricité nous fait émettre plus de CO2 qu’avant, pas moins. Parce que le bilan carbone de ces nouveaux moyens sont égaux ou moins bons que ceux des moyens qu’on a déjà, et qu’on les construit en plus et non en remplacement des centrales qu’on a déjà.
    – Cette électricité dégrade notre balance commerciale, en nous forçant à importer plus d’équipements de l’étranger qu’avant. Elle détruit donc des emplois en France, pour les recréer à l’étranger.
    – Cette électricité menace notre sécurité d’approvisionnement en produisant de manière décorrélée par rapport à la consommation. Elle est une contrainte supplémentaire pour les gestionnaires de réseau, et non un facilitateur.
    Bref en France continentale, installer du PV et de l’éolien est une connerie phénoménale, soutenue par des lobbies irresponsables, des politiciens et des journalistes incompétents.

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  • L’Allemagne et le Danemark sont des exemples de pays qui ont comme objectif 100 % renouvelables, et on voit nettement que cette voie est un échec sur tous les plans. Fortes émissions de CO2 qui ont du mal à baisser, forte consommation de ressources minières, fortes subventions publiques, coûts exorbitants du KWh TTC pour les consommateurs et nette défiguration des paysages. Comment croire encore à ces modélisations très optimistes ? Y-at-il au moins un modèle dans le monde qui ait déjà réussi sans tous les inconvénients décrits plus haut ?

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  • voila plus de 20 ans que les éoliennes sont autonome par rapport au suivi de la direction du vent !

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  • s’il n’y avait pas d’éolien et de solaire dans la production électrique la dépendance aux energies fossiles et le rejet de co2 seraient bien plus élevés !

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  • Je serais curieux de savoir quelle fraction de la production d’énergie provient des renouvelables en ces jours de canicule (Juin 2019), alors qu’il n’y a pas de vent sur presque toute l’étendue de l’Europe. Les considérations de ‘coût du renouvelable’ indiquées dans certaines réponses n’incluent pas le stockage, incontournable en l’absence du nucléaire. Les simulations sont-elles réalistes? prévoient-elles correctement ce que l’Allemagne paie à la Norvège et à la Tchécoslovaquie pour absorber ses excédents intermittents? Et ce qu’elle paie à la France pour acheter l’électricité en hiver?

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  • pour que les éoliennes soient socio-économiquement acceptables :
    – hauteur limitée, (maxi 60 mètres) et suppression des clignotants flashs lumineux,
    – implantation en zones industrielles ou dans les déserts en couplage avec les panneaux photovoltaïques ou dans dans de grandes friches industrielles (pas de nouvelle artificialisation des sols) ou à la place d’un réacteur nucléaire vieillissant démantelé
    – fin des subventions d’état qui sont répercutées sur le consommateur final

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