L’avion Solar Impulse 2 s’est posé, mercredi 13 juillet, dans la capitale égyptienne, bouclant ainsi l’avant-dernière étape de son tour du monde. Son périple, débuté le 9 mars 2015, démontre que l’énergie solaire est une solution technologique performante et d’avenir.
Lancé dans un tour du monde depuis un peu plus d’un an, l’avion qui fonctionne à l’énergie solaire vient d’achever la 16ème étape de son aventure. En partance d’Espagne et après avoir parcouru 3 700 km, l’appareil qui pèse 1,5 tonne est arrivé le 13 juillet au Caire, avec déjà en ligne d’horizon la destination finale : Abou Dhabi.
Sur Twitter, le pilote suisse Bertrand Piccard déclarait ainsi : « Dix-sept ans après avoir imaginé Solar impulse, je touche de près à mon rêve après ce survol des pyramides ». De son côté, France 24 rappelle que « le Solar Impulse 2 vole à une vitesse moyenne de 50 km/h grâce à des batteries qui emmagasinent l’énergie solaire captée par quelque 17 000 cellules photovoltaïques sur ses ailes ».
Avec leur initiative, les deux pilotes suisses Bertrand Piccard et André Borschberg souhaitent justement démontrer l’efficacité des énergies renouvelables. En prenant notamment un superbe cliché des pyramides de Gizeh et en terminant le parcours, l’objectif sera probablement tenu.
Lire aussi : Tuile solaire Panotron : quand photovoltaïque rime avec discrétion